En 2018, en France, plus de 9,3 millions de personnes (soit 14,8 % de la population), dont 2,9 millions d’enfants (soit 21 %), vivaient sous le seuil de pauvreté.

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La pauvreté des enfants est définie, encore aujourd’hui, à partir de la pauvreté des parents. La mesure la plus utilisée en France est celle de la « pauvreté monétaire ». De ce point de vue, un « enfant pauvre » vit dans un ménage dans lequel le revenu global se situe au-dessous d’un seuil de pauvreté – déterminé, d’après l’Insee, « par rapport à la distribution des niveaux de vie de l’ensemble de la population. Eurostat et les pays européens utilisent en général un seuil à 60 % de la médiane des niveaux de vie. »

Comment la pandémie fragilise les « enfants pauvres »