« Une des raisons du déclin de l’écologie politique est, à l’évidence, la criminalisation du mouvement environnementaliste »

Les actions de l’Etat contribuent à relativiser auprès de l’opinion la légitimité de la cause environnementale, analyse Stéphane Foucart, journaliste au « Monde », dans sa chronique. C’est un paradoxe qui passionnera sûrement, un jour, les politistes et les historiens. Pourquoi, alors

« L’action climatique ne peut être regardée seulement comme une contrainte. C’est surtout une façon de rendre le futur supportable »

Une nouvelle étude estime qu’une hausse de 2 °C de la température mondiale à l’horizon 2100 entraînerait une baisse du PIB mondial de l’ordre de 50 %. Ces résultats pourraient changer considérablement la façon d’envisager la décarbonation, explique dans sa chronique Stéphane Lauer,