Christine Seguinau, présidente de la commission infrastructures, transports, intermodalités, mobilité explique : « ces étudiants n’ont plus accès aux « petits boulots », le coût des transports vient rajouter une charge supplémentaire à des familles souvent elles-mêmes touchées par la crise économique découlant de la crise sanitaire. C’est la triple peine pour eux ! »
C’est pourquoi nous demandons, en lien avec Monique de Marco, sénatrice écologiste de la Gironde, l’accès aux cours des étudiants avec une tarification exceptionnelle dans les TER et les cars interurbains de la Nouvelle-Aquitaine.
Comment ? En proposant une tarification à 1 euro ou, a minima, l’accès à la carte tarif solidaire offrant une réduction de 80% sur les tarifs des TER et des cars interurbains.
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