L’Autorité de sûreté de nucléaire estime que la stratégie de l’exploitant « va dans le bon sens », mais veut encore s’assurer de la « pertinence » du calendrier proposé.
Une stratégie qui « va dans le bon sens », avec encore « certaines interrogations » concernant le calendrier. L’Autorité de sûreté nucléaire (ASN) a rendu un premier avis, jeudi 16 mars, sur le plan proposé par EDF pour renforcer ses contrôles dans le cadre du problème de « corrosion sous contrainte », après la découverte d’une fissure très profonde sur une tuyauterie du réacteur numéro un de Penly (Seine-Maritime). L’exploitant assure pouvoir vérifier la quasi-totalité des soudures les plus à risque d’ici à la fin de 2023, sans réduire la capacité de production du parc nucléaire.