Trafic routier ralenti, industries en berne… La baisse de l’exposition aux particules fines durant le premier confinement a permis d’éviter la mort, à long terme, de 2 300 personnes, selon une étude de Santé publique France. «Les politiques tardent à agir» face aux effets sanitaires de la pollution de l’air, regrettent les associations.
Pendant le confinement, la baisse de la pollution de l’air a évité 2 300 morts